Début de mon aventure dans les light-novel

Je souhaitais commencer cet article avec une phrase éloquente, mais je n’ai rien qui me vient à l’esprit dans l’immédiat.

Du coup, cette aventure débutera sobrement. Tout d’abord, puisque je vais parler light-novel, il est bon d’attaquer le sujet en s’intéressant à la maison d’édition Ofelbe. Cela commence le 12 mars 2015. Sortent alors deux romans, Spice & Wolf, ainsi que Sword Art Online.

Mais je ne parlerais point de ces deux œuvres-ci. Comme vous le savez, avec mon vieil âge, je traine difficilement mes guiboles et, ai facilement beaucoup de retard sur un certain nombre de choses. Bien que n’ayant pas loupé l’annonce des deux titres cités précédemment, m’en étant même réjoui, je ne me suis attelé à la lecture de light-novel que depuis ce mois d’octobre dernier. Mon premier achat s’est tourné vers Durarara!!, dont son adaptation animé m’avait interpelé, dans le très bon sens du terme. Le deuxième fut Mahouka Koukou no Rettousei (j’utiliserai le titre japonnais, je n’arrive vraiment pas à me faire à la traduction anglaise). L’adaptation animé de ce dernier m’avait également fait un grand effet (en bien, bien entendu).

Je débarque donc avec un an et demi de retard.

drrrrr-001Commençons avec Durarara!!, si vous voulez bien (et même si vous ne le voulez pas, en fait). Le premier tome nous décrit donc l’arrivée d’un jeune lycéen, nommé Ryugamine Mikado, qui pose fraichement pied dans le quartier d’Ikebukuro. Celui-ci quitte sa campagne natale et espère vivre un quotidien extra-ordinaire (à comprendre au sens premier « en-dehors de l’ordinaire »), souhaitant casser avec la monotonie de la banalité de sa vie tranquille et bien ennuyante à ses yeux. Une chose est certaine, avec toutes les légendes urbaines qui trainent, il ne devrait pas être déçu du voyage !

Ce volume permet de poser l’ambiance, les intrigues et, les très nombreux personnages dont elles découlent. Car la force principale de l’auteur, Ryohgo Narita, est de réussir à intégrer une multitude de protagonistes, sans se perdre et sans nous perdre.

J’ai visionné la saison une il y a un petit moment déjà, mais de ce que je m’en souviens, c’est une adaptation fidèle et, si vous l’avez appréciée, je pense pouvoir vous dire que vous pouvez vous procurez ce premier tome de Durarara!! (et les autres qui vont suivre), les yeux fermés.

drrrrrr-001Poursuivons maintenant avec Mahouka. Dans ce premier volume (bien plus épais que son confrère), nous posons également les bases. L’histoire se centre autour d’un frère et sa sœur, Tatsuya & Miyuki Shiba. Ils viennent juste d’être intégrés dans le Premier Lycée, l’une des écoles les plus prestigieuses du pays, formant les technico-magiciens. Nous sommes en effet plongés en 2095 et cela fait près d’un siècle que l’utilisation de la magie est devenue quasi-courante. Seulement vous pouvez ranger capes, baguettes et autres grimoires. Ici, la magie est une technologie de pointe, sur laquelle sont même faites des thèses, comme nous en faisons nous, sur la physique quantique par exemple.

La force, mais également la faiblesse, cela dépendra de la personne lisant le livre, ce sont les détails techniques sur la magie, très nombreux, qui permettent de saisir pleinement son fonctionnement, son rôle, son évolution, etc.. C’est personnellement ce qui m’a le plus plu. J’ai trouvé cette utilisation de la magie comme technologie moderne vraiment intéressant et pour le moment bien intégré et développé.

Si vous avez aimé l’adaptation animé, je pense que vous aimerez d’autant plus le livre ! À contrario, si vous ne l’avez pas apprécié, vous détesterez encore plus son format relié.

Voilà, c’est ainsi que commence mon périple à travers les LN, grâce à Ofelbe Édition, en espérant que la suite de l’aventure soit au moins aussi palpitante !

À la prochaine pour l’épisode 2 !



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Selamat pagi ! Rédacteur en chef du site et accessoirement président de l'association. Passionné de culture et d'art depuis bien des années, pour ne pas dire toujours, j'espère que cet endroit saura titiller votre curiosité ! Attention « Mon langage est composé de 97 kg de méchanceté. »

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