La minute de l’animation – partie 2
Salut ! C’est votre mascotte favorite qui vous parle, l’unique et irremplaçable Tibtyd Lirbij !
Je dois vous avouer que ma remarque de la dernière fois m’a value des mesures de rétorsions, mais ce n’est pas grave, j’enfonce le clou et je maintiens : il a beau changé de pseudos, notre rédac’chef est un accro aux animes !
En voici la preuve !
Sangigi – Esenjin – Fuchsia – Mag’zine #17
Je vais finir avec un petit coup de gueule (oui, j’ai totalement monopolisé cette partie du Mag’).
Cela se devine facilement avec la vignette au dessus, je vais taper sur l’anime Re:Zero. Non pas que je n’apprécie pas ce dernier, bien au contraire, je passe même en général plutôt un bon moment devant, non, c’est plutôt pour parler de l’« overmégahype » qu’il y a tout autour.
C’est bien d’aimer quelque chose, de le dire et de le défendre. Mais il y a un moment où il faut savoir s’arrêter. Trop, c’est trop.
C’est un peu comme le chocolat en fait, c’est bon, on aime ça, on en mange quelques carrés ça va, mais si on ingurgite dix tablettes, ça fait mal.
Là c’est un peu la même chose. J’arrive à saturation. Je ne peux pas ouvrir Twitter et passer plus de deux minutes, sans voir un message en rapport avec. Ça finit même par dégoûter. Dommage.
Esenjin – Mag’zine #22
L’anime AoButa
Gros coup de cœur cette année 2018 pour l’animé Seishun Buta Yarou wa Bunny Girl-senpai no Yume wo Minai (AoButa). Cette série est superbe, avec des histoires touchantes qui tapent juste, des personnages adorables et j’en passe. Elle a une place particulière dans mon cœur car elle touche à de nombreux moments à mon vécu personnel.
En deux mots, on y suit une bande de lycéens qui traversent des histoires d’adolescents et d’amours bien amenées et surfant sur des principes de la mécanique quantique. Un mélange audacieux mais qui fonctionne très bien, tant l’histoire est portée par des personnages puissants et entiers. C’est ma recommandation de l’année avec Yorimoi !
Esenjin – Mag’zine #25
Pour ce numéro, mon coup de coeur se portera sur un artiste, un illustrateur pour être plus précis. Il s’agit de « HxxG / ホン ». Je l’ai découvert il y a quelques semaines, alors qu’il s’amusait à dessiner les uns après les autres, les personnages de Monogatari Series (et tout le monde ici connait mon amour pour cette série). Au-delà de ça, ses illustrations sont vraiment magnifiques, avec un style qui fait mouche avec moi ! Je vous invite donc à le suivre sur Twitter et/ou sur Pixiv afin d’y découvrir toutes ses oeuvres si ce bref aperçu vous a plu.
Ryuji Danma – Mag’zine #25
Tower of God
Je souhaitais partager avec vous le dernier anime que j’ai pu visionner, Tower of God. Issu du web-toon coréen du même nom, une adaptation en série d’animation a été mis en production par le studio Telecom Animation Film et diffusé sur Crunchyroll en Occident. L’intrigue prend toute son essence dans l’immense Tour, l’univers dans lequel les personnages évoluent. Arriver au sommet de la Tour est synonyme de Graal, autrement dit la légende raconte que le dernier étage céderait à tous les caprices de ceux qui y parviennent. Pour gravir un étage, il faut correctement répondre à l’énigme de l’étage, qui peut aller d’une simple épreuve de survie jusqu’à la réponse à une devinette qui entraîne la mort en cas de mauvaise réponse. L’ascension n’est cependant pas commune, et n’est permise qu’aux Réguliers, comprendre ceux qui ont été choisis par la Tour. Il existe aussi de très rares Irréguliers, qui par opposition sont ceux qui sont entrés d’eux-mêmes dans la Tour, ce qui est le cas du protagoniste Bam dans cette première saison. Il souhaite revoir Rachel, la seule personne dont il conserve un souvenir avant d’entrer dans la Tour, qui elle souhaitait voir les étoiles au sommet de la Tour. J’étais un peu inquiet lors de la sortie de l’anime, car le style coréen s’éloigne souvent de celui trouvé au Japon. Cependant la découverte de l’adaptation n’en a été que plus agréable. Avec des couleurs très vives, l’univers mis en exergue est aussi vaste que surprenant, à un tel point qu’il est difficile de prévoir la suite des événements, m’obligeant à regarder la première saison d’une traite.
Ce n’est pas parce qu’il a invité son grand ami Ryuji Danma à la rédaction du Mag’zine, qu’Esenjin perdra son étiquette otaku !
D’ailleurs, il a fini par donner le virus à toute l’équipe ! Mais vous lirez cela une prochaine fois, car je m’arrête ici. A bientôt !