Nantes Utopiales 2013 : Jour 02
Bonjour !
On se retrouve aujourd’hui avec un petit résumé de ma deuxième journée aux Utopiales Nantes 2013.
Tout à commencé à 13h15, avec la vu du film « Imaginaerum »
Un long métrage canadien/finlandais de Stobe Harju. Contrairement à ce qui était noté dans le fascicule du festival, le réalisateur n’a malheureusement pas pu être présent. C’est vraiment regrettable, puisque le film était vraiment superbe ! Une magnifique histoire, très bien conté, avec des musiques qui nous transportent à merveille dans cet univers onirique.
J’ai par la suite été manger, avant de me rendre à la table ronde « Donner à voir, donner à penser, l’image au service du jeu vidéo et du jeu de rôles ».
Ça a parler de l’image noir & blanc, plus présente dans le JV, mais moins dans le JDR, du en partie au coût. Mais le coté esquisse donne un rapport proche du travail de l’artiste. Ils ont également discuté de l’« écran », des mécaniques & interactions, de la 3D, des fiches des personnages, des personnages de manières globale ainsi que de l’utilisation des monstres. Les personnes animant cela étaient A. Briclot, N. Fructus, F. Pinson et A. Rebondy.
J’avais par la suite prévu de voir la session des courts métrages, mais j’ai préféré ne pas y aller pour assister à la table ronde sur « Philosophie et jeux vidéo », animée par A. Damasio, S. Beauverger, M. Triclot & X. Mauméjean.
Il a été dit qu’il fallait prospecter et porter des réflexions sur les valeurs, ainsi que de se poser la question de ce qu’est de subir une technologie, malgré la fait que celle-ci rend plus fort. Le JV permet des interrogations politique et ouvre d’autres potentiels avec les cinématiques. Qu’est ce que je fait ? Qu’est-ce que l’on me fait faire ? Sont des questionnement pouvant subvenir d manière très intéressante.
Le JV est une industrie d’artistes, où la narration intellectuelle reste très difficile, car le joueur joue, avant d’être spectateur, il faut donc bien comprendre la grammaire du medium. La cinématique n’est réellement une solution, puisqu’il s’agit simplement du cinéma importer. La fissure de contre-indentification peut créer de la réaction & réflexion.
Le débat est également aller du coté du fait que le joueur est maso. En effet, il doit toujours devenir meilleur pour avancer dans l’histoire. S’il meurt, il ne découvre pas la suite, chose que ne demande pas un livre par exemple. Toutefois, cela permet de construire de la compétence.
S’en est suivit après la soirée « Remember Me » du jeu éponyme, avec A. Briclot, S. Beauverger, A. Damasio, M. Koch & J.-M. Moris.
La qualité dégueulasse de mon compact en carton c’est cadeau. La soirée était vraiment intéressante et m’a permis de bien découvrir le jeu. L’équipe présente était ouverte et la dialogue a été très facile, un bon point donc.
Ensuite il a fallu rentré, et oui. D’ailleurs petit jeu, qui trouvera où cette photo a été prise ?