Critique – Gakusen Toshi Asterisk (S1 & 2)
Salut, salut !
Après un petit moment sans critique sur le site, j’ai enfin réussi à me motiver à en écrire quelques-unes. Aujourd’hui, laissez-moi donc vous présenter la série Gakusen Toshi Asterisk (saison 1 et 2). Cette licence est adaptée du LN éponyme de Yuu Miyazaki & okiura. et, est toujours en cours de parution (8 tomes sorties) au moment où j’écris ces lignes.
Nombre d’épisodes : 12 de 24 minutes (S1) + 12 de 24 minutes (S2)
Diffusion : du 03 octobre 2015 au 19 décembre 2015 (S1) et du 02 avril 2016 au 18 juin 2016 (S2).
Studio : A-1 Pictures
Genres : Action, ecchi.
Il y a quelques temps, l’humanité a subie une catastrophe naturelle nommée l’impact « Invertia ». Cela a détruit le monde entier. Mais grâce à cet événement, une nouvelle capacité nommée « Genestella » est apparue. Les humains dotés de ce pouvoir de « Genestella » peuvent manier des armes démoniques, aux pouvoirs divers et dévastateurs. Notre protagoniste principal, Ayato Amagiri, manie quant à lui Ser-Veresta, une épée particulièrement puissante.
Grâce à des relations, il arrive à entrer à l’académie Seidokan, afin d’y enquêter sur la disparition de sa sœur. À peine arrivé sur place, il fait la rencontre de Julis-Alexia von Riessfelt, qui le provoquera en duel, suite à un petit incident (comprenez qu’il la vu en sous-vêtements). Le combat se fini finalement sur un match nul, avec Claudia Enfield, la présidente du conseil étudiant, qui vient l’interrompre.
L’histoire, sur la première saison, va se concentrer sur la première partie du Festa, un immense tournoi ou les « Genestella » s’affrontent, pour l’honneur de leur académie (et accessoirement, le duo gagnant voit le vœux de son choix réalisé). C’est donc ainsi que Ayato & Julis vont devoir combattre cote-à-cote. Notre demoiselle, qui, au passage, est une princesse d’un petit pays, combat pour aider des enfants d’un orphelinat. Notre homme valeureux, de son coté, est issue d’une famille de bretteurs, aux capacités hors-normes et souhaite trouver des indices, concernant la mystérieuse disparition de sa grande sœur.
La deuxième saison se penche sur la fin du Festa et, amorce l’intrigue qui se développera dans une saison future. L’histoire est très classique, un jeune homme un peu mystérieux, super puissant entouré de belles nanas, va devoir se friter pour l’accomplissement d’un objectif quelconque. Bien évidemment, le parcours sera semé d’embuches ! Rien de révolutionnaire, donc, dans Gakusen Toshi Asterisk. La première saison est longue à débuter et, la coupure en plein milieu du tournoi n’est pas des plus judicieuse à mon sens.
Le rythme de la saison suivante est mieux géré et l’intrigue s’étoffe enfin réellement, même si cela ne casse toujours pas trois pattes à un canard. Cela reste donc une série très classique, bourrée de ecchi, qui se regarde, mais s’oubliera bien vite.
Visuellement, ça tient la route. Ce n’est pas exceptionnel, mais cela reste plusieurs crans au dessus de Arslan. Les combats sont plutôt cools, afin des effets lumineux à tout va. On regrettera par contre, des décors particulièrement pauvres. Le chara-design de son coté est dans la moyenne.
On touche ici probablement le point positif de la série. La B.O. est composée de 25 titres plutôt agréables et soignés, qui s’accordent très bien avec l’ambiance de la série. C’est vraiment plaisant à écouter.
[button link= »http://ostream.ovh/v2/gakusen-toshi-asterisk/ » size= »large » color= »default »]Écouter la B.O. sur OSTream[/button]
OP S1
ED S1
OP S2
ED S2
Une série très classique, qui s’inscrit totalement dans la mouvance actuelle, sans chercher à s’en détacher. C’est n’est pas particulièrement désagréable à visionner, mais on l’oubliera vite pour passer à autre chose, de plus inventif.