ChronOphyque #2 : Magimoji Rurumo
Bien le bonjour ! Ça faisait longtemps que je n’avais rien posté. Je vais remédier à ça ! Cette nuit je suis tombé sur un anime de mon studio préféré, J.C.STAFF. Ne durant que 12 épisodes, j’ai décidé de me faire la série d’une traite. Ce qui a été fait.
Pour ce deuxième numéro de « ChronOphyque », je vais vous parler de Magimoji Rurumo !
Temps de lecture : 1’15’
Alors que ce pervers appelé Shibaki se ballade dans la rue, une sorcière tombe du ciel et lui annonce qu’il mourra suite au contrat qu’il a signé. Ce contrat était une sorte de vœux. Il demandait une petite culotte, mais ce qu’il ne savait pas, c’était que sa vie était prise en échange. Seulement voilà, tout ne se passe pas comme prévu et, il finit par ne pas mourir. Le contrat n’ayant pas été achevé jusqu’au bout, la sorcière, qui se nomme Rurumo, a été reléguée au rang d’apprentie. C’est la raison pour laquelle, Shibaki reçoit un carnet de ticket magique, permettant de débloquer les pouvoirs de Rurumo pour qu’elle puisse les utiliser. Mais la condition ne change pas : un ticket utilisé lui raccourcit un peu plus sa durée de vie.
Cet anime de la saison été 2014 nous propose un mélange de fantasy et d’humour. Un humour parfois très japonisé, donc pas toujours « drôle » pour nous, européens. Mais on arrive facilement à mettre ce détail de côté pour se concentrer sur l’histoire entre nos deux protagonistes. Concernant les graphismes, on reste sur du basique, mais du basique qui fonctionne. Peut-être qu’un peu plus de détails sur certains mouvements (comme lorsqu’elles font de la musique) ne serait pas du luxe. Ajoutons également qu’il est appréciable de voir que J.C.STAFF arrive à nous montrer l’évolution caractérielle de plusieurs personnages en seulement 12 épisodes. Ce n’est pas toujours le cas dans ce genre d’animes où l’on balance des petites culottes à gogo.
C’est bien un Slice Of Life, mais il manque un petit quelque chose qui fait que cet anime aurait pu être excellent dans le genre. Magimoji Rurumo se laisse regarder tranquillement, et c’est peut-être ça justement son plus gros problème. Douze épisodes, c’est toujours trop court et on manque cruellement d’une fin digne de ce nom. Enfin, c’est un peu la marque de fabrique de J.C.STAFF non ?