Carnet de voyage à Honshu ; dernière partie.

Introduction

Reprenons notre récit là où nous l’avions laissé : aux portes de Kyoto, la capitale millénaire. Progressons maintenant à l’ouest de Honshu, le long du littoral sud vers Hiroshima ! Notre point d’intérêt sera la visite de la ville d’Hiroshima mais surtout la découverte de l’île de Miyajima. Comptez environ deux heures de train pour rallier votre destination.

Au détour de votre voyage

KOBE

Sur votre itinéraire, vous passerez par Kobe, puis Himeji : marquer une pause à l’une de ces villes pour une demi-journée est une option très intéressante. Si vous avez des valises, vous trouverez facilement des consignes à bagages dans les différentes gares, plutôt pratique !

Á partir de la gare de Shin-Kobe, arpentez le sentier de randonnée non loin de là qui vous conduira jusqu’aux chutes de Nunobiki. Longez ensuite le cours d’eau et vous ne pourrez pas manquer les trois cascades Mentaki, Tsutsumidaki et la plus célèbre Ontaki qui culmine à plus de quarante mètres de hauteur. Poursuivez maintenant votre balade jusqu’à l’observatoire Miharashi afin de vous octroyer une pause mais surtout pour admirer la vue imprenable sur la ville. Pour les plus courageux, vous pourrez continuer votre ascension jusqu’au Nunobiki Herb Garden : un charmant parc floral qui vaut vraiment le détour et dont l’entrée vous coûtera 200 yens.

Après tant d’efforts : le réconfort ! Pourquoi ne pas ensuite vous laisser aller à la dégustation du fameux boeuf de Kobe ? La bestiole ne brade pas sa chair, je vous l’accorde. Mais si votre budget vous le permet : une expérience culinaire unique vous attend, un spectacle dont le beau rôle est bien sûr accordé à cette viande d’exception, qui ne manquera pas de titiller vos sens. En effet, la pièce est présentée, découpée et cuite devant vous par un chef cuisinier qui saura sublimer merveilleusement bien cette chair à la tendresse inouïe. Fondante dans la bouche, les suggestions du chef, tant sur les condiments (sauce/épices) que les accompagnements, vous plongeront dans une extase gustative riche en saveur !

HIMEJI

Comme second choix , je vous proposais Himeji comme destination. Si cette option vous séduit, ce qui vous attend est la visite de son incontournable château et une promenade onirique dans ses somptueux jardins environnants. La construction de l’édifice s’est achevée en 1609 et il est surnommé le « Héron blanc » en raison de son éclatante couleur blanche. Je vous confierais qu’il s’agit du plus impressionnant château qu’il m’ait été donné de voir lors de mon voyage.

C’est l’un des douze derniers châteaux en bois du Japon dont l’un des mieux conservés : son donjon ayant été épargné de tout incendie, tremblement de terre et même des bombardements de 1945. Depuis la sortie de la gare de Himeji, la bâtisse (distante d’un peu moins d’un kilomètre) se dresse fièrement du haut de ses six étages et vous ne pourrez absolument pas manquer de l’apercevoir. En vous en approchant, vous atteindrez le pont Sakuramon délimitant l’entrée du complexe, traversez-le et pénétrez dans son enceinte. Le parc du château s’offre à vous, vous pourrez y flâner au gré de vos envies mais ne vous dispersez pas trop car la visite ne fait que commencer ! Le ticket d’entrée vous coûtera 1 000 yens et vous permettra d’explorer tous les recoins du château.

Une fois à l’intérieur des remparts, on constate que la cour est verdoyante : les pins et les cerisiers sont habilement disposés le long des sentiers et rendent grâce à la beauté des lieux. Vu de près, le château impressionne davantage par sa hauteur : il est désormais temps de pénétrer dans ses entrailles. Vous progressez à l’intérieur en gravissant les étages, prenez votre temps pour observer les prouesses architecturales de cet ouvrage ayant traversé des siècles d’histoire. Le chemin labyrinthique pour parvenir jusqu’au donjon, les passages étriqués et les escaliers raides : tout cela avait bien sûr pour but de ralentir l’avancée des assaillants ennemis. Vous serez finalement récompensés de votre ascension par la superbe vue qu’offre le dernier étage sur la ville.

Avant de partir d’Himeji, un autre point d’intérêt mérite toute votre attention. Celui-ci se situe non loin de l’édifice féodal, à l’ouest plus précisément : il s’agit du jardin Koko-en. C’est un écrin de verdure qui s’étend sur 3,5 hectares et que vous découvrirez au travers des neuf jardins japonais (tous de styles différents) qui le composent. Vous l’aurez compris, le Koko-en bénéficie d’une atmosphère calme et zen, un cadre de promenade idyllique offrant une vue contemplative sur ces tableaux végétaux grandeur nature. Ces toiles sont soigneusement entretenues par le savoir-faire ancestral de ses jardiniers qui, tels des artistes, façonnent ces paysages dont les palettes de couleurs sont sans cesse renouvelées par les saisons. S’il vous fallait un moment nature, celui-ci est vraiment exquis.

LA FIÈRE HIROSHIMA

Comment ne pas avoir entendu parler de la ville d’Hiroshima ? Tristement connue au travers des livres d’Histoire comme la scène apocalyptique du bombardement atomique de la Seconde Guerre mondiale. Cet événement majeur a marqué l’humanité à tout jamais, il n’est ainsi pas étonnant qu’un tourisme historique se soit développé autour de la ville.

LE DÔME DE GENBAKU

Le monument le plus emblématique, témoin de cette tragédie, est sans nul doute le dôme de Genbaku (mémorial de la paix d’Hiroshima), qui est classé au patrimoine mondial de l’Unesco.

Avant d’être ravagé, le bâtiment faisait office pour la préfecture nippone de hall d’exposition et de promotion pour le secteur de l’industrie. Le 6 août 1945, la bâtisse fut la seule à tenir encore debout à proximité de l’hypocentre de l’explosion générée par la première bombe atomique de l’Histoire, qui emporta toute forme de vie dans son rayon et même au-delà… A la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’opinion publique fut longtemps divisée : certaines voix s’élevaient afin de préserver les ruines de l’ancien hall, tandis que d’autres souhaitaient tout bonnement en faire disparaître les restes, qui suscitent encore aujourd’hui de douloureux souvenirs. Ce n’est qu’en 1966, des années après la reconstruction de la ville, que le projet de conservation du dôme vit officiellement le jour. Cette décision fut suivie d’une campagne de levée de fond, avec des dons qui arrivèrent par delà les frontières, permettant ainsi la concrétisation de ce projet en 1967.

Aujourd’hui, les éléments structurels du bâtiment sont dans l’état dans lequel ils étaient juste après l’explosion. Au travers des différentes campagnes de conservation, un renforcement minimal, au moyen d’acier et de résine synthétique, a été entrepris afin de préserver durablement le dôme : sa forme, sa conception, ses matériaux et son cadre sont demeurés authentiques. Le mémorial de la paix d’Hiroshima a pour volonté d’être un lieu de prière et de recueillement, un symbole fort pour la paix dans le monde et la suppression définitive des armes nucléaires.

La visite du mémorial est un incontournable, cela vous prendra moins d’une heure pour en faire le tour, ainsi prenez votre temps pour vous promener au sein de ses différentes parties (monument de la paix des enfants, le parc du mémorial…) et en observer les détails. Ma visite s’est faite à la nuit tombée et l’éclairage environnant confère vraiment au dôme et au lieu, une atmosphère toute particulière. C’est un site historique chargé d’émotions qui ne vous laissera certainement pas indifférents.

LE CHÂTEAU D’HIROSHIMA ET SES ALENTOURS

En vous rendant au mémorial depuis la gare, vous passerez inéluctablement devant le château d’Hiroshima, entouré par ses douves et surnommé « le Château de la carpe ». Il fut érigé une première fois en 1591 mais ne sera pas épargné par le bombardement de 1945 et finira quasiment détruit : sa reconstruction n’aura lieu que treize années plus tard, en 1958. L’édifice sera ensuite rénové en 1989 et verra son intérieur transformé en un musée qui vous fera découvrir l’histoire de la ville. Vous pouvez vous contenter de le contempler de loin ou bien y pénétrer moyennant 360 yens.

Non loin du château se trouve le Shukkei-en, un jardin japonais situé au bord de la rivière Enko, en plein cœur d’Hiroshima. Cet oasis de verdure a la particularité d’être d’inspiration chinoise (imitant le jardin Xi Hu de la ville chinoise de Hangzhou) et met en œuvre un habile jeu de perspectives avec les éléments de ses paysages, permettant ainsi de représenter en miniature de grands panoramas naturels. Comme il est de coutume dans ce genre d’espace, c’est une balade agréable et reposante qui vous attend : n’hésitez donc pas à vous y rendre pour marquer une pause lors de vos pérégrinations dans Hiroshima.

UNE BALADE GOURMANDE EN PLEIN COEUR DE VILLE

Au-delà de son passé douloureux, Hiroshima dispose d’un cadre de vie agréable ainsi que de lieux à l’ambiance chaleureuse et décontractée. Comme la plupart des grandes villes japonaises, Hiroshima possède son Shotengai (pour rappel, il s’agit d’une galerie marchande couverte) qui se nomme ici Hondori et, situé en plein centre-ville. Le quartier est plutôt animé avec sa jeunesse qui s’y retrouve en soirée et durant les week-ends. Vous y trouverez toutes sortes de magasins, parés de leurs grandes enseignes lumineuses typiquement nippones. C’est l’endroit idéal si vous êtes à la recherche de magasins de souvenirs ou de vêtements.

Au cours de votre balade, la bonne odeur de nourriture n’échappera pas à vos narines ! Et pour cause, l’Okonomi-Mura se trouve à deux pas de là. Il s’agit d’un bâtiment de trois étages où se trouvent vingt-cinq restaurants dédiés à la spécialité locale : l’okonomiyaki. Ce plat japonais se présente sous la forme d’une galette composée à base de choux, puis agrémentée de viande et de fruits de mer. Dans le style de la région du Kansai (Osaka notamment), l’ensemble des ingrédients sont tout d’abord mélangés à une pâte puis versés sur une plaque chauffante, tandis qu’ici, ils sont superposés sur la plaque de cuisson et forment une succession de couches. Á cela s’ajoute des nouilles japonaises (soba ou udon) accompagnées d’un oeuf pour donner du liant et vous obtenez un okonomiyaki concocté dans la pure tradition Hiroshima. J’ai personnellement une préférence pour cette version là, à vous de me dire laquelle vous préférez. Quoiqu’il en soit, je suis au moins sûr d’une chose : à tous les coups, vous allez vous régaler !

L’ESCALE À MIYAJIMA

Située non loin d’Hiroshima, Miyajima (littéralement, l’île du sanctuaire) est réputée pour son emblématique torii rouge au beau milieu de la mer. Facilement accessible, elle offre un cadre de promenade agréable et dépaysant. Depuis la gare JR de Hiroshima, comptez moins de trente minutes pour arriver à la station de Miyajima-guchi. Et pour rejoindre l’île ? Pas de soucis ! Un ferry exploité par la compagnie JR effectue la liaison entre Miyajima-guchi et Miyajima : muni de votre JR Pass, vous n’aurez absolument rien à débourser.

Le premier ferry est à 6h25 et, dès 8h10, les départs se succèderont toutes les quinze minutes jusqu’à 18h45. Les horaires sont détaillés sur le site de la compagnie, je vous invite à le consulter pour des indications (disponibles en anglais) plus précises.

La traversée prend dix minutes, profitez-en donc pour admirer les flots et la végétation qui se dresse devant vous. De loin, vous apercevrez l’imposant torii rouge marin. Imposant ? Peut-être pas vu du ferry mais ses contours n’auront de cesse de se préciser à mesure que vous vous approcherez de l’île. Avec une impatience grandissante, l’embarcation s’amarre : vous débarquez enfin, l’heure est désormais à la découverte ! Au port, pensez à vous procurer la carte touristique de l’île (disponible en français), celle-ci se révélera très utile pour vous repérer.

LE SANCTUAIRE ITSUKUSHIMA ET SON GRAND TORII MARIN

Le sanctuaire Itsukushima est le principal point d’intérêt de l’île et son lieu le plus sacré. En raison de ce statut, le bâtiment fut construit sur pilotis avec des pontons car, dans cette zone, les visiteurs n’avaient pas le droit de poser pieds à terre. En arrivant par bateau, ils devaient ainsi passer sous le grand torii flottant, indissociable de son sanctuaire, pour ensuite accoster au niveau des pontons. La vue que constitue le torii, avec en fond le mont Misen, est désignée comme l’une des « trois vues les plus célèbres du Japon ».

Pour profiter pleinement de votre visite, pensez à vérifier en amont : la météo et les coefficients de marée. À marée haute, le torii semble flotter au-dessus des flots : l’idéal étant bien sûr de visiter l’île par beau temps et à marée haute, car c’est dans ces conditions que vous tirerez toute la beauté des panoramas. Au cours d’une marée basse : vous aurez l’opportunité d’approcher le torii et vous rendre compte à quel point celui-ci est imposant !

Lors de ma visite sur l’île, j’ai eu la chance de voir ces deux aspects du paysage. Si vous comptez vous y rendre prochainement, sachez que des travaux de rénovation ont débuté en juin 2019. Le torii est donc recouvert d’un échafaudage qui restera en place jusqu’à la fin des travaux, prévue en août 2020. Patience, il n’y en a plus pour très longtemps !

LE PARC MOMIJIDANI ET LE MONT MISEN

En quittant le sanctuaire et en vous dirigeant vers le sud-est, vous parviendrez jusqu’au parc Momijidani situé en plein coeur de Miyajima. Il s’agit d’un des plus célèbres parcs à érables de tout le Japon et pour cause son nom signifie littéralement « la Vallée aux érables ». Ce sont près de deux cents arbustes qui vous attendent dans cet écrin de verdure soigneusement préservé, dont on raconte que les premiers ont été plantés durant l’ère Edo. La faune locale, avec ses Shika, ne cessera de vous rappeler à la nature. Et c’est en automne que la végétation se sublimera, s’embrasera de mille feux révélant ainsi toute la splendeur des lieux. La visite du parc Momijidani, au pied de Mont Misen, est seulement la première étape de votre excursion en pleine nature. Vous vous en doutez, ce qui va nous intéresser est bien sûr la vue qu’offre le Mont Misen en son sommet ! Pour ceux que la randonnée rebute, un téléphérique vous emmènera directement dans les hauteurs, non sans vous offrir un splendide panorama sur toute la végétation environnante.

Pour les plus courageux, vous pourrez emprunter le parcours Momijidani : il s’agit d’un des trois chemins de randonnée qui vous conduira jusqu’au sommet. C’est personnellement celui que j’ai emprunté (le plus facile aussi !) et comme son nom l’indique, celui-ci débute à partir du parc Momijidani, en longeant les gorges de la rivière Momiji pour ainsi atteindre la cime du Mont Misen culminant à plus de cinq cent trente mètres de hauteur. Comptez environ 1h30 pour gravir les 2,5 km de ce sentier, composé de marches en pierres et en rondins de bois. Des panneaux sont implantés tous les cent mètres pour vous aiguiller et vous indiquer la distance restant à parcourir. Honnêtement, vous ne pourrez pas vous perdre : progressez sereinement à votre rythme, pensez à vous hydrater et n’hésitez pas à marquer une pause s’il le faut, afin d’observer cette nature alentour superbement préservée. Une fois au sommet, gravissez les marches (toujours monter décidément !) de l’observatoire et vous serez récompensés par la vue panoramique à trois cent soixante degrés qui s’offre à vous.

Je l’ai évoqué précédemment mais deux autres parcours (plus difficiles) vous conduiront jusqu’à l’observatoire. Le parcours Daishoin passe par le temple éponyme et s’étend sur près de 3 km, vous gravirez ainsi plus de deux mille marches pour en venir à bout : prévoyez pour cela entre 1h30 à 2h.

Le parcours Omoto est le troisième et dernier parcours, celui-ci vous fera traverser le parc Omoto : un simple échauffement, avant d’attaquer l’ascension du Mont Komagabayashi, le plus élevé de l’île après le Mont Misen (deux pour le prix d’un, qui dit mieux ?). D’une longueur d’environ 3,2 km, au moins 2h vous seront nécessaires pour le terminer. Le sol étant accidenté à certains endroits, restez particulièrement vigilant lors de votre montée. Quel que soit le parcours que vous aurez choisi à l’aller, je vous conseille d’en emprunter un autre pour le retour : cela vous permettra ainsi d’en découvrir deux fois plus ! L’option téléphérique reste bien sûr disponible si vous n’en pouvez vraiment plus.

OMOTESANDO, LES ARCADES COMMERÇANTES DE MIYAJIMA

Omotesando est l’artère commerçante de l’île. Très animé, vous y trouverez votre bonheur parmi les boutiques de souvenirs, bars et restaurants. Profitez-en pour déguster les spécialités culinaires locales : les okonomiyaki aux fruits de mer mais surtout l’unagi-don, le fameux plat de riz japonais avec de l’anguille grillée caramélisée, qui se trouve être, pour ma part, un délice absolu pour les papilles.

Pour la touche sucrée, le momiji manjû est la spécialité de l’île : il s’agit d’une pâtisserie traditionnelle en forme de feuille d’érable fourrée à la pâte de haricots rouges, que les japonais savourent généralement avec le thé. La beauté des lieux se prête parfaitement à une ambiance décontractée, pourquoi ne pas déguster ces douceurs au bord de la plage, tout en observant le flot des vagues se déverser sur le rivage ?

LE MOT DE LA FIN

Cette partie de mon séjour au Japon a été l’une de mes préférées et c’est sur ces mémorables souvenirs que je lèverai ma plume de mon carnet de voyage pour le Mag’zine. Voyager vers ce pays, être au contact de sa culture, le découvrir et visualiser de mes propres yeux ces paysages qui m’ont longuement fait rêver : c’est un accomplissement personnel auquel j’aspirais depuis un bon moment déjà. Même avec le recul, j’ai apprécié chaque instant passé là-bas et je réalise ma chance d’y avoir été.

Ce n’est pas sans une certaine nostalgie, mais toujours le plus fidèlement possible, que je vous ai restitué ces moments au travers de mes écrits. J’espère vraiment avoir suscité chez vous l’envie de visiter le Japon, ou du moins, vous avoir aidé à préparer votre prochain voyage là-bas. Dans un cas comme dans l’autre : mon but aura été atteint !

Je me rends bien compte que je n’ai pas parlé de Tokyo : la capitale (comment avoir pu passer à côté de ça ? Sacrilèges !). J’y suis bien allé vers la fin de mon voyage mais n’y ai séjourné que cinq jours et je vous le dis franchement, ça n’était clairement pas assez ! J’aurais aimé compléter davantage ma visite de la capitale nippone. Hakone, Shizuoka, Nikko, ce sont également d’autres villes dans lesquelles j’ai été et j’ai dans l’idée de vous les présenter sous un autre format.

Le Japon m’attire toujours autant et il me reste encore tellement d’endroits à visiter ou même à revisiter (peut-être à l’occasion d’un prochain voyage ?). Quoiqu’il en soit, mes écrits dans la partie Soleil Levant ne sont pas prêts de se terminer car le Japon reste et restera pour moi, une intarissable source de passions et d’inspirations.


Cet article est une republication d’un article paru dans l’édition reliée n° 23-24 de Mag’zine, que vous pouvez toujours aller le lire ici.



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Ici Lord, « petite main » pour le Mag'zine dans la rubrique Soleil Levant, on m'exploite 48h par jour (oui, oui c'est possible !). La preuve : on m'avait averti que le taff serait rude. Or, un homme averti en vaut deux. Donc 2*24... vous me suivez ?

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